Mélomaladomane.
Elle est l'absolue, l'inévitable, la conclusion de tout.
Cet oeil perçant qui fait osciller les neurones de ma caboche vide, et qui fait de ma vie ce manège à la douceur livide.
C'est peut être elle, la réponse à mes questions.
L'incarnation des fantasmes désuets, des monstres intangible que nous représentons.
Je suis faillible, et mélomaladomane.
Elle a touché de sa voix, mon coeur insatiable.
Et plongé ses doigts dans le rouge véritable,
De cette mare béante dans mon torse troué.
Le souffle court quand son chant s'élève et que le monde sous mes pieds se dérobe, à l'envers.
Je ne crains plus la porte de mes désirs enfouis, ni de franchir la frontière
du Qui.
Sa présence invisible rassure l'artère
qui de son pouls minime berce l'univers, égrenant les secondes.
Poème hurlant l'absence de liquide,
drame historique, odeur d'aspirine,
je perds progressivement l'attention divine
et provoque en moi les chocs électriques qui raniment les nerfs avides de pulsions ancestrales, aux hymnes tribaux d'ethnies multi-racial.
Elle court dans cette chambre ronde, qui cache le cervelet.
L'ultime erreur de la création. L'amateur de laid.
Aveugle damnation, du puissant à ces enfants.
Drogue amère, doux plaisirs, mes oreilles transpirent de toi.
Le beau est un art sauvage et vivant.
Dont le coeur pur d'enfant à laissé place à la folie meurtrière de la danse à contresens.
Elle est l'absolue, l'inévitable, la conclusion de tout.
Cet oeil perçant qui fait osciller les neurones de ma caboche vide, et qui fait de ma vie ce manège à la douceur livide.
C'est peut être elle, la réponse à mes questions.
L'incarnation des fantasmes désuets, des monstres intangible que nous représentons.
Je suis faillible, et mélomaladomane.
Elle a touché de sa voix, mon coeur insatiable.
Et plongé ses doigts dans le rouge véritable,
De cette mare béante dans mon torse troué.
Le souffle court quand son chant s'élève et que le monde sous mes pieds se dérobe, à l'envers.
Je ne crains plus la porte de mes désirs enfouis, ni de franchir la frontière
du Qui.
Sa présence invisible rassure l'artère
qui de son pouls minime berce l'univers, égrenant les secondes.
Poème hurlant l'absence de liquide,
drame historique, odeur d'aspirine,
je perds progressivement l'attention divine
et provoque en moi les chocs électriques qui raniment les nerfs avides de pulsions ancestrales, aux hymnes tribaux d'ethnies multi-racial.
Elle court dans cette chambre ronde, qui cache le cervelet.
L'ultime erreur de la création. L'amateur de laid.
Aveugle damnation, du puissant à ces enfants.
Drogue amère, doux plaisirs, mes oreilles transpirent de toi.
Le beau est un art sauvage et vivant.
Dont le coeur pur d'enfant à laissé place à la folie meurtrière de la danse à contresens.
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